« Tandis que les morts deviennent zombies et quittent les cimetières pour envahir nos villes, les architectes se transforment en collectifs, abandonnent leurs agences et occupent la rue. Mais qui a laissé la porte ouverte ?
L’analogie est évidente : « il n’y a que les poissons morts qui suivent le courant ». Et dans les deux cas, nos politiques s’en frottent encore les mains ! »